Me Guy Labrie-Morin a terminé ses études à l’Université Laval en 1993 et a été admis au Barreau du Québec en 1996, après un stage à la Cour d’appel du Québec à Montréal où il a œuvré à titre de recherchiste pour plusieurs juges.
Il a poursuivi sa carrière au sein de l’étude O’Reilly Mainville de 1999 à 2002 où il a été impliqué dans un litige important opposant des Cris, des corporations forestières et les différents paliers gouvernementaux. Il a également agi à tire de conseiller à la table de négociation de la Paix des Braves, plus particulièrement concernant les négociations entre les Cris et la haute direction d’Hydro-Québec.
De 2002 à 2006, Me Labrie-Morin s’est joint à l’étude Gowling Lafleur Henderson et a agi à titre de secrétaire corporatif et de conseiller juridique général pour plusieurs organisations cries, plus particulièrement en droit corporatif, environnemental et minier.
En août 2006, l’étude Morin Murdoch a été créée et Me Labrie-Morin a continué d’offrir ses services de secrétaire corporatif et de conseiller juridique aux organisations cries dans plusieurs domaines dont le droit corporatif, le développement des ressources naturelles, l’environnement, la négociation et la mise en œuvre de différentes conventions.
En janvier 2013, Me Labrie-Morin a poursuivi sa carrière dans son propre cabinet, Guy Morin Avocat inc. Il a continué d’offrir ses services à titre de secrétaire corporatif et de conseiller juridique auprès de communautés autochtones dont les Cris de la Baie James et les Inuits du Nunavik, et ce, dans des domaines variés dont le développement de projets d’énergie verte, le démarrage d’entreprise ainsi que l’exploration minérale.
À l’automne 2014, Me Labrie-Morin a enseigné un cours de politique et de droit autochtone au Collège Kiuna, Institution de niveau collégiale autochtone située sur la réserve Abénakis d’Odanak près de Sorel.
Me Labrie-Morin est aussi médiateur accrédité par le Barreau du Québec depuis 2014, membre de l’Institut de médiation et d’arbitrage du Québec (IMAQ) ainsi que l’Institut d’arbitrage et de médiation du Canada (IAMC) depuis 2015.